dimanche 22 février 2009

La procrastination ce mal qu'il faut combattre?

Voilà une vingtaine de jours que je n’ai plus rédigé  un seul mot. Je ne responsabilise aucune condition particulière, hormis une grippe imprévue qui continue d’ailleurs à me lacérer le crâne. Donc, c’est de moi que cela vient ! Mais maintenant, je reprends les choses en main. 
En écrivant, je visualise en même temps l’image de mon texte achevé, je le trouve bien ficelé, sans la moindre incohérence. Je le vois surtout lu par des milliers de personnes auxquelles, il donne une matière à réfléchir sur leurs habitudes quotidiennes. C’est ma méthode à moi pour transcender ma paresse d’écrire : ma procrastination.Mais ils existent d'autres méthodes pour ceux qui éprouvent de la diffuclé à visaliser.

Découvrez les ici.

Qu'est ce que la procrastination ?

Elle est le mal en personne. Elle est l’incontestable ennemi de notre évolution, de notre épanouissement, de notre réussite dans tous les domaines. C’est la petite voix perfide qui chaque matin ou chaque soir chuchote à nos oreilles :

« Tu es trop fatigué pour faire ce travail ce soir ! Allons, allons laisse le pour demain matin, tu seras bien disponible à l’accomplir … »
Et le lendemain, vous vous réveillez juste à temps pour partir étudier ou travailler! Pour te consoler la petite voix, toujours insistante, te dit :
« Ne fait pas cette tête, tu as la pause de midi pour travailler, ou même le soir. Dans tous les cas, tu ne rends ton projet que le vendredi et on est tout juste le mercredi. »

Vous l’avez bien saisi, la procrastination c’est notre « génie » de remettre toujours au lendemain ce qu'on est capable de faire aujourd'hui.

J’ose dire que chez nous, je parle du Maroc, la procrastination est culturelle. De cette force que lui procure le titre « culture », elle s’entretient et se solidifie. Il suffit de calculer le nombre de fois où vous devez retourner à une administration pour obtenir un extrait d’acte de naissance ou une autorisation particulière pour mesurer l’intense présence de la procrastination dans notre société.


Et vous étudiants, il suffit de voir vos mines ravagés par le stress à la vielle de chaque contrôle pour constater le degré de votre procrastination…
Et vous, qui rêvez de maigrir, de changer de travail, de vie…


lundi 26 janvier 2009

Internet : une arme à double tranchant pour le chercheur d’emploi

Médi1 Sat, édition du Dimanche 25 janvier2009, émission de 8h du matin

Selon le reportage, en France, les modalités de recrutement chez les cabinets de recrutement ont évolué.Ils intègrent, dorénavant l’outil google dans leurs techniques d’investigation concernant les candidats.Ce qu’ils cherchent, c’est surtout de savoir si le candidat pratique d’autres activités parallèles ou non. Bien sûr quand le moteur de recherche affiche : « Les termes de recherche spécifiés […] ne correspondent à aucun document » le recruteur se pose un grand point d’interrogation quant à la compétence du candidat!

Par ailleurs, leurs recherches se focalisent sur les sites communautaires, en l’occurrence Facebook, où les internautes constituent des groupes professionnels liés à leur domaine d’intervention, soit pour trouver des clients, soit pour discuter de leur profession. Mais il y a aussi d’autres groupes qui échangent des informations personnelles sous forme de photos, des renseignements intimes en vue de partager une passion particulière.

Cette nouvelle méthode de recrutement est porteuse d’un risque énorme, c’est celui de privilégier les données privées au détriment de la compétence professionnelle.

Le reportage nous offre une double leçon : Internet peut être un canal excellent pour vendre ses compétences

Internet peut être ,également, un canal excellent pour perdre une occasion d’embauche.
Alors la prudence et la méfiance doivent être vos amies!


Lien pour voir l’émission

http://adf.ly/1IVTNx

vendredi 23 janvier 2009

Amener l'autre à positiver

Fz Alami
Formatrice Consultante en Techniques de Communication et d’Expression,nous explique comment inciter l'étudiant à modifier son comportement en l'absence d'une demande explicite de sa part
.

Chaque nouveau questionnement nous ouvre la porte vers de nouveaux horizons, vers de nouvelles manières de penser et ainsi vers de nouvelles solutions... Je te remercie d'avoir ouvert cette discussion.

Faire en sorte que l'autre prenne le contrôle de soi-même de manière positive et sans qu'il le veuille lui-même, c'est en effet une tâche qui demande réflexion.

Des questions s'imposent d'elles mêmes dans ce cas de figure :

J'ai envie de donner mais est-ce que l'autre a envie de recevoir ce que je lui donne ?

Est-ce que les solutions que je lui présente conviennent vraiment à son mode de vie ?
Quand on dit à quelqu'un de positiver alors qu'il vit dans un environnement agressif, violent et marqué par une pénurie alimentaire...il ne peut pas comprendre...

Est-ce qu'il est conscient de l'utilité et de l'efficacité de ma solution ?

Est-ce qu'il possède le besoin de changer ?
Beaucoup de gens se confinent dans le malheur et s'y complaisent parce qu'ils y trouvent une sécurité faite par habitude depuis leur enfance et parce que leur attitude leur offre une acceptation dans leur propre environnement.

Est-ce qu'il veut vraiment changer ?
Avec les meilleures solutions du monde, sans volonté, on n'arrive à rien...

Est-il prêt à faire l'effort de changer ?
Présenter des solutions c'est bien mais les appliquer ne revient qu'à la personne concernée...

Est-ce que l'autre a les moyens d'appliquer ce que je lui dicte ?
C'est un peu comme amener quelqu'un à se brosser les dents 3 fois par jour alors qu'il n'a pas les moyens d'acheter un dentifrice ou de lui dire de changer de chaussettes tous les jours alors qu'il n'en a qu'une paire, ou encore de prendre sa douche tous les jours en été alors qu'il n'a pas de salle de bain chez lui, etc...

Positiver relève d'un effort quotidien personnel voire même d'un combat mené quotidiennement face à la négativité qui imprègne déjà les mentalités de la plupart des gens que l'on côtoie tous les jours. Être conscient de ce combat à mener nous positionne déjà dans la voie du succès futur.

Ceci dit, premièrement, vos étudiants doivent prendre conscience de ce combat quotidien, avoir la volonté de le mener et être convaincus du résultat.

La meilleure influence est celle qui est implicitement introduite dans un exemple pratique. La théorie n'est pas efficace pour ceux qui sont incapables de la comprendre. La plupart des gens ne comprennent aujourd'hui que par des images et par un exemple concret qui s'applique bien à leur situation puis on aura l'impression qu'ils ont compris alors que chacun interprétera à sa manière l'information de départ... "Personne ne peut diriger le vent, mais on peut toujours ajuster ses voiles."

La création des simulations en classe en les impliquant par le jeu de rôle, la recherche et la correction de l'erreur de l'autre peut s'avérer la technique la plus efficace pour vous faire atteindre votre but.

Passer des vidéos serait aussi très utile, encore faut-il les trouver ou les filmer soi-même...

J'espère t'avoir donné quelques pistes, j'ai moi-même galéré pendant un certain temps avec mes étudiants pour réduire leur négativité avant d'arriver à ces mêmes conclusions. Ce qu'ils apprennent théoriquement, ils ne l'assimilent pas suffisamment pour pouvoir l'appliquer dans leur vie.

http://mieux-etre.forumactif.net